France Galop redéploie les services de restauration de ses hippodromes

29 avril 2019

France Galop redéploie les services de restauration de ses hippodromes

Boulogne-Billancourt, lundi 29 avril 2019 - France Galop a redéfini son offre de restauration sur ses six hippodromes. Ils feront désormais tous appel à des partenaires différents (par type d’activité de restauration ; Brasseries/Panoramiques et Bars/Buvettes) pour améliorer le service à la clientèle, dans les conditions d’exploitation propres à chacun d’entre eux.

Cette nouvelle organisation sera mise en place dès le début du mois de mai, après la résiliation anticipée du contrat de restauration datant de 2014, liant France Galop au traiteur Saint-Once et qui devait expirer au 31 décembre 2019. Cette résiliation, intervenue à la demande de Saint-Once compte tenu des conditions d’exploitation liées à l’exécution de leur contrat depuis 2014, a été acceptée par France Galop dans la mesure où les solutions alternatives décrites ci-après pouvaient être déployées rapidement et sans heurt tout en préservant la qualité de service due à ses membres et ses clients.  

Dès le 1er mai à Saint-Cloud, la restauration sera assurée par le restaurateur, gentleman-rider et propriétaire de chevaux de course Adel Sefiane, qui proposera une carte à la fois traditionnelle (salade du Sud-Ouest, entrecôte-frites et cuisse de poulet) et moderne (Hawaïan Bowl, mix de tempuras, bento de sashimis) à des prix abordables : 10 à 12 € pour les entrées, 19 à 21 € pour les plats.

À partir du 4 mai, Paris Society (ex-groupe Noctis) gérera tous les espaces de restauration publics et les bars à ParisLongchamp. Déjà opérateur de la Brasserie et du Petit Pré, Paris Society étend ainsi ses activités. Parallèlement, la société Un Amour de Bonbon, déjà concessionnaire de nombreux « espaces forains » de restauration mobile (crêpes et gaufres, bonbons, boissons, etc.) sur plusieurs de nos sites, continuera de proposer ce type de service à ParisLongchamp (Crêpes et gaufres à 4.5€, bonbons à 3€).

Le 6 mai, ce sera le tour de Chantilly (réunion diurne) et d’Auteuil (réunion en semi-nocturne), deux hippodromes actifs ce jour-là. Dans le premier, le traiteur et restaurateur Séson assurera la restauration assise au restaurant panoramique, un service de boissons au salon des propriétaires et prendra en charge le bar des tribunes.

À Auteuil, la brasserie Karly Flight sera reprise par Animal Kitchen, avec un menu préparé à partir de produits locaux, destiné à évoluer au fil des saisons et qui ne déroutera pas les appétits les plus traditionnels. Le restaurant panoramique, qui n’est ouvert que les dimanches, sera géré par un traiteur parisien, NoMorePenguins. Un Amour de Bonbon prend en charge le bar des tribunes.

Enfin, à Maisons-Laffitte, à partir du 9 mai, Un Amour de Bonbon prendra en charge le bar des tribunes et la restauration mobile, tandis que le restaurant panoramique est confié à un restaurateur/traiteur local.

Le Groupe Barrière continuera d’opérer en exclusivité à Deauville – La Touques, comme depuis 2007.

Davantage de précisions seront portées à la connaissance du public au fil des mises en service sur les hippodromes de France Galop.

Concernant la Brasserie ParisLongchamp, ouverte du mercredi midi au dimanche midi, les réservations s’effectuent en direct au :

01 44 30 75 52 ou sur http://brasserie-parislongchamp.com/

A partir de 2020, l’organisation sera encore améliorée à la lumière des expériences accumulées en 2019 dans le but de créer et pérenniser un modèle vertueux de restauration, centré sur le service, où clients et prestataires se retrouvent gagnants. Dans ce but, France Galop lancera dans le courant de l’été 2019 des appels d’offres, articulés autour de la recherche d’opérateurs spécialistes par type de restauration et si possible en prise avec le marché local de chaque hippodrome.

Fabrice Favetto Bon, directeur marketing de France Galop, explique : « En quelques semaines, nous avons dû relever le défi d’identifier et de déployer des solutions de restauration sur chacun de nos hippodromes pour faire face au départ de Saint-Once. Mais nous sommes convaincus qu’il s’agit d’un mal pour un bien car notre stratégie pour les prochaines années passait de toute façon par une remise à plat complète du modèle d’opérateur global multi-hippodromes et multi-activités de restauration. De plus en plus, nos hippodromes ont vocation à vivre toute l’année et à s’ouvrir vers leur tissu local. Nous avons ainsi cherché, pour pallier le départ de Sain-Once, des solutions le plus souvent locales, souples, de spécialistes reconnus de leur métier ; dans un seul but ; le meilleur service de nos clients. Nous avons des partenaires ultra motivés, nous comptons sur eux pour se mettre dans le bain au plus vite et répondre ainsi aux exigences élevées de nos clients sur les hippodromes. Il y aura forcément une période de rodage et d’adaptation mais nous sommes confiants sur le fait que chacun trouvera vite son rythme. »